Marilyn Kousko Blue Flames Of The Azure
Nombre de messages : 24 Age : 32 Date d'inscription : 07/08/2010
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| Sujet: Marilyn Kousko Sam 7 Aoû - 11:05 | |
| Prénom: Marilyn Nom: Kousko Âge: 19 ans Sexe: Feminin Orientation Sexuelle: Bi-sexualité à tendance féminine Race: Humanoide Plus grande peur: Agoraphobe Faiblesse Personnelle: Marilyn n'est pas une personne qui est forte physiquement et elle ne compte pas là-dessus pour remporter des batailles. Sont pouvoir ne requérant pas de force physiquement, elle compte beaucoup trop dessus. Bien qui lui soit pratique, un corps en corps sans pouvoir lui serait fatale Chose la plus précieuse à vos yeux: Son père qui est ''disparu''. Marilyn est persuader du contraire Classe sociale (Pauvre, Moyenne, Riche): Mendiante Profession : Chasseuse Armes : Voir Pouvoir Description du Pouvoir: Honoo Buruu est l'un des nombreux nom que j'ai donné à mon pouvoir. Pourquoi ce nom ? Parce que c'est un fragment de mon âme matérialisé sous forme de flammes bleus, contrôlable et modifiable à ma guise. Ce fragment d'âme c'est séparer de mon corps et s'extériorise par mon oeil gauche. Dès que mon pouvoir s'active, une partie de mon âme s'écoule vers l'extérieur de mon corps par ce trou. Certaines personnes disaient que c'était la partie ''survie'' de mon âme qui à crée cette maîtrise. Contrairement à ce que certaines personnes pourrait penser, ce ne sont pas des flammes à proprement parlé, une personne ayant fusionner avec le feu ne pourrais aucunement contrôler mes choses. Tout simplement parce que c'est mon âme sous forme de flammes. Passons à la partie la plus techniques du pouvoir. Tout ce que je porte en sont former, mes vêtements et mon armes. Je peux donné la forme que je veux à mon âme selon la quantité de ''flamme'' que j'ai. Bien entendu, les flammes de mon oeil gauche peuvent être utilisé pour crée d'autre chose, c'est comme un puits infini, mais le problème c'est que si je veux crée quelques choses de quand même gros, je vais devoir attendre d'avoir suffisamment de ''flammes''. Voilà pourquoi je porte des vêtements créent par cela. En les sacrifiant, j'empêche ce temps. Le second viendra en RP Description du Pouvoir: Honoo Buruu, les flammes bleus est le nom Description Psychologique : J'aime ce qui est fragile, évanescent, unique et charnel. J'apprécie les êtres et lieux singulier, irremplaçable, les atmosphères à jamais liées à des situations et à des moments. Je suis persuadée qu'une part capitale de la morale consiste tout simplement à accepter d'être au monde, à ne pas fuir, à être là pour les autres et pour soi. Nos moments de bonheur nous arrivent par surprise, ce n'est pas nous qui les créons, ce sont eux qui s'emparent de nous. Vous ne pouvez pas choisir naturellement de quelle façon vous mourrez, ni à quelle date. Vous pouvez décider de quelle façon vous voulez vivre. Maintenant, essayer d'être quelqu'un de bien, c'est d'abord faire pas mal d'erreur, c'est parfois regretter, mais c'est surtout s'accrocher. L'avenir est un concept qui se surmonte. Nous ne subissons pas l'avenir, nous le faisons, nous le construisons. J'ai beaucoup mieux à faire que m'inquiéter de l'avenir, j'ai à le préparer. Je n'ai qu'un seul but dans la vie, je suis prêt à mourir pour ce but. Je suis ponctuelle, maladroite, lunatique et nonchalante. J'ai plusieurs peurs, je dois vous l'avouez. Il n'existe personne dans ce monde qui est dotez d'un courage infini. Nous avons tous peur de quelques choses. Personnellement, j'ai peur des foules, je déteste les regroupement de gens.
Description Physique : Commençons par la base, je mesure 5,7 pied. Ce qui est ni trop grand, ni trop petit. Je dois peser quoi? Près de 110 livres. J'ai la peau caucasienne, le teint svelte et les yeux bleus. Je suis vêtu d'un habit noir composé d'une cape, d'un bikini et des bottes. Je me tiens en permanence très droite. J'ai les cheveux long, constamment attaché en couette et d'une couleur noir. Maintenant, je vais passer au détail plus « technique ». Comme je l'ai dit avant, je me tiens toujours très droit, favorisant ainsi la vision, les déplacements ainsi qu'un meilleur contacte avec le sol. Bien que mon dos soit droit, mes épaules sont inclinées. Une pointe légèrement vers le ciel et l'autre vers le sol. Pourquoi? C'est parce que j'ai une jambe plus longue que l'autre d'un centimetre. En effet, quand j'étais plus jeune, j'ai eu le fémur droit de fracturé. Je ne suis pas quelqu'un d'apte au combat. Je ne suis pas doté d'une musculature très impressionnante.
Histoire du Personnage :
Mon père était un criminel en fuite ; c'est du moins ainsi que ma mère m'a toujours présenté la chose. Les soirs où elle était en veine d'élan maternel elle m'expliquait, en chuchutant, que papa avait fait partie d'un groupe bien particulier de personne. C'était l'une de ces personnes qui, à une époque, voulaient faire trembler le pays de Hon en commettant divers crimes (meutre, vole d'information, trafique, etc..) . Lorsque ma mère me racontait cela, je n'étais pas très âgée et ses idées levaient dans mon imagination de gamine des images de mon père en train de soutirer des informations à coup de nounours en peluche.
Mon père – j'ignore quel nom il portait alors – avait fui Hon quelques minutes avant que les autorités ne lui mettent la main au collet. À partir de là, il s'était fondu dans la nature sauvage, les déserts glacés, là où aucune autorité n'aurait le cran de venir le chercher. Pour plusieurs raisons, non seulement, il n'était pas mauvais physiquement, mais il avait un talent qui l'aida énormément : c'était un grimpeur hors pair, un alpiniste de première force. Pour survivre, il devint guide de haute montagne et s'en alla exercer son métier au bout du monde. Il se faisait payer fort cher pour traîner des hommes influents au sommet des montages, juste pour que lesdites personnes aient la fierté d'avoirs escaladés une montagne.
Ma mère, Mori Kousko, le rencontra lors d'une excursion, elle ce maria avec et alla habiter en bordure de la frontière entre Nette et Lev. Elle commençait à avoir un nom dans la communauté des artistes. Elle écrivait des contes pour enfants qu'elle illustrait elle-même. C'était une remarquable dessinatrice, mais qui vivait hors du réel, dans un monde peuplé, de nains, de fées, de licornes, et autres sucreries qui m'enchantaient lorsque j'étais une petite fille. Elle avait peint sur les murs de son bureau une fresque représentant un paysage des châteaux féodaux où des légions de gnomes s'affrontaient en un combat incertain. Assez curieusement, cet univers imaginaire semblait avoir pour elle plus de consistances que celui au sein duquel elle se mouvait. Je l'ai vue pleurer lorsqu'elle se voyait contrainte de faire mourir l'un de ses personnages, et cela alors même qu'elle accordait une attention distraite aux accidents dont j'étais victime (chute, jambe cassée, pneumonie, et j'en passe). C'était assez étrange pour une fillette d'une dizaine d'années, d'être en concurrence avec des individus n'existant que sur le papier. Souvent, je me glissais dans son atelier pour observer mes ennemis dont les visages me narguaient au centre des feuilles punaisées sur la table à dessin. Je devais lutter contre l'envie de les barbouiller de peinture noire. Je n'ai jamais osé, bien sûr. Mon instinct me disait qu'un tel acte plongerait ma mère dans l'hystérie, voire la démence, et qu'elle n'hésiterait pas une seconde à me balancer au fond du puits.
Je n'avais pas confiance en elle. Elle était d'humeur trop changeante. Deux femmes l'habitaient, deux copropriétaires irréconciliables : la bonne fée, et la sorcière. Au fil des heures, et sans qu'on sache pourquoi, elle devenait l'une ou l'autre, et le paradis devenait un vrai cauchemar. C'était assez déstabilisant. Je crois qu'elle se laissait posséder par ses personnages, sans même en avoir conscience. Bonne fée, elle répandait douceur et tendresse ; sorcière, elle devenait méchante, injuste et intolérante. Penchée sur la planche à dessin. Il ne fallait jamais la déranger lorsqu'elle travaillait dans l'atelier. Penchée sur la planche à dessin, elle entrait en transe. La maison aurait brûlé qu'elle ne l'aurait jamais remarqué. Peu à peu, j'ai appris à subsister en marche, sans me faire repérer, en passagère clandestine de ma propre demeure.
Nous vivions au pied des montagnes, dans un beau chalet jadis propriété d'un ermite mort dans une avalanche -que disait mon père-. Mon père -je le connaissais alors sous le faux nom de Kon Peki – était souvent absent, occupé à monter une cordée de personnes influentes à l'autre bout du monde. C'était un homme massif, tout en muscle. Une sorte d'ours adorable qui me racontait des histoires d'extermination, de viole et de guerre pour m'endormir. Sans doute espérait-il, par cette plongée dans un réel sans concession, contrebalancer l'atmosphère que les contes de ma mère installaient dans la maison. Je garde de ses séjours un souvenir émerveillé – et sans doute embelli – de promenades dans la montagne, de pique-niques émaillés de fous rires. Probablement les choses n'étaient-elles pas aussi formidables que je m'obstine à le croire. Je pense aujourd'hui que de vives tensions opposaient mes parents. Papa soupçonnait maman de le tromper pendant ses absences. Il avait raison. Lorsqu'il était en voyage, la maison se remplissait d'une foule de parasites venue courtiser ma mère. D'anciens compagnons, des artistes malchanceux ou trop imbus de leur talent pour accepter de réaliser leur mauvais goût. Ils débarquaient par plusieurs en brandissant des bouteilles de saké, vêtus de costumes extravagants. Ces nuits-là, le chalet n'était plus que tapage, chansons obscènes et cacophonie musicale. On m'envoyait me coucher tôt, mais je redescendais en catimini et, tapie dans un placard j'observais le manège des adultes par l'entrebâillement de la porte. Je voyais alors se poursuivre des hommes et des femmes nus, grimés de façon grotesque. Ma mère en faisait partie. Il m'arrive encore de la voir en rêve, avec pour seuls vêtements, ses yeux pleins d'alcool et un coin de porte cachant les parties plus particulière à la gent féminine. Je m'éveille alors en sursaut et il est rare que je parvienne à me rendormir. Elle menait une vie libre, sans complexes ; elle avait pris très tôt dans le milieu artistique l'habitude de la sexualité de groupe. Ces excès lui permettaient d'affirmer son indépendance. Encore une fois, je le répète, il y avait deux femmes en elle. Celle qui vivait avec papa et l'autre...
Je n'en ai jamais rien dit à mon père. Je sentais qu'une telle révélation aurait déclenché un drame. Papa avait tout d'un ours en peluche, c'est vrai, mais il ne faut pas oublier que ce célèbre toutou, a été conçu sur le modèle d'un grizzly, un ours particulièrement agressif, et qui a l'habitude de déchiqueter ses proies à coup de griffes.
J'ai vite compris que, si je voulais survivre, il fallait m'abstraire du monde des adultes, c'est ainsi que j'ai émigré dans la maison en carton. Il s'agissait du grenier. Un grenier imposant, dont on avait dissimulé les poutres derrière des planches de cartons pour le rendre habitable. Le projet avait été abandonné sitôt ébauché, par l'un de ses revirements dont ma mère était coutumière, et le local avait pris l'allure d'un décor inachevé où je me sentais bien, protégée des manigances et du tumulte des étages inférieurs. En dessous régnaient le chaos, la suspicion, la débauche, alors qu'ici tout n'était que paix, silence et sécurité.
Je n'allais pas à l'école – logique, il n'y en avait pas là ou je vivais-. Tous les matins, quelqu'un venait m'enseigner les rudiments d'une culture qui me laissait indifférente ; dès qu'il avait tourné les talons, je grimpais quatre à quatre les marches conduisant au grenier, et restait là jusqu'au soir, allongé sur le plancher poussiéreux, à regarder les rayons de soleil allumer des reflets d'argent dans les toiles d'araignée reliant les poutres. Personne ne s'est jamais inquiété de mon absence. Sans doute, même, en était-on soulagé! Un jour, obéissant à une impulsion, j'ai dérobé des pots de couleurs et des pinceaux. Sans trop savoir ce que je faisais, j'ai commencé à peindre - barbouillé plutôt - des paysages. Très vite, j'ai compris que ce que je voulais vraiment, c'était partir loin d'ici et de tout ses ennuis. Si seulement, je savais. Tout était peint, bien sûr, d'une grande naïveté, mais c'est ainsi que tout a commencé. Je sais que c'est ce jour-là, dans l'odeur de poussière chaude du grenier inachevé, dans le ventre de la maison en carton, que j'ai décidé de parcourir le monde pour y voir mille et un paysages. Encore fallait-il avoir l'âge pour partir sans ameuter les autorités. Au fil des années, j'ai dû peindre dix paysages les uns sur les autres, et ce, au gré de mes humeurs d'adolescente. Tout plein de rêve et de désir.
Puis, le temps a passé. Mon père a disparu. Un jour, il n'est pas rentré d'une expédition à la frontière de Hon. On n'a jamais su ce qui lui était arrivé. Sa situation particulière (fausse identité, recherchée) ne permettait pas d'avoir de bonne nouvelle : N'oublions pas que mon papa était quelqu'un de rechercher pour meurtre, désertions, vole et ainsi de suite.
J'ai grandi. J'ai quitté Nette pour m'installer à la Tour. Maman m'a vue partir avec soulagement, je crois. Ses livres étaient passés de mode, ils se vendaient moins bien. Elle avait dû restreindre son train de vie et le cercle de ses courtisans s'amenuisait. Il est vrai qu'entre-temps certains étaient morts d'ivrognerie. C'est un milieu où l'on ne prend guère soin de sa santé et où l'on se persuade qu'il faut mal vivre pour bien créer. De la pure foutaise qui permet de tenir porte ouverte aux pires excès.
Nous nous rencontrions à l'occasion des fêtes. Elle s'était mise à boire. Elle avait abandonné les livres pour enfants et travaillait à un album de gravures quelque peu déconcertantes. C'était, pour les gens du village, une vieille dame scandaleuse. Une toquée qui débauchait les jeunes gars et les faisait poser nus avant de se les envoyer sur une peau d'ours mitée, devant la cheminée. Elle survivait en vendant ses toiles à des amateurs, par une galerie spécialisée. La dernière fois que je l'ai vue, je suis montée au grenier, mue par une sorte de pressentiment, comme si j'avais deviné que je n'aurais plus jamais l'occasion de visiter la maison en carton. J'ai éprouvé un choc. Toutes mes peintures avaient été recouvertes de peinture noire. En colère, je suis redescendue sans rien dire. Je n'ai posé aucune question. Je ne voulais pas savoir. À midi, ma mère était déjà ivre, cramponnée à son verre de vodka
- Ton père, a-t-elle ricané, il n'est pas mort. Il nous a largués, toi et moi... Enfin, surtout toi, parce que moi je me passais très bien de sa présence. C'était un mauvais coup. Il a été aperçu au nord du Kawa dans un petit village au nom imprononçable. Il vivrait là, à ce qu'on dit. La crasse, ça lui a toujours plu.
J'ai demandé des précisions. Elle a été incapable d'en fournir. J'ai eu l'impression qu'elle mentait, pour me faire mal. À un moment, elle a eu cette phrase étrange.
- Tu es tout de même beaucoup moins belle que moi! Tu me déçus en grandissant, je m'attendais à mieux.
Je me suis sentie dans la peau d'un jeune animal recalée à une foire. J'ai réclamé les affaires de mon père, quelques objets personnels à titre de souvenirs. Elle a affirmé avoir tout jeté, même les photos. J'ai abrégé mon séjour. Le lendemain, je rentrais dans ma demeure qui n'était là qu'en guise de repos. C'était une maison que j'utilisais peu – étant toujours sur la route - . Deux semaines plus tard, ma mère trouvait la mort dans l'incendie du chalet. Le rapport des autorités estimait qu'elle s'était endormie dans son lit, une cigarette à la main. Des rumeurs ont couru, invérifiables. Au village, certains ont prétendu avoir vu mon père rôder autour de la maison à la tombée de la nuit et autre ragot du genre impliquant toujours mon père. De toute évidence, les autorités n'avaient pas envie de creuser ; la thèse de l'accident leur allait.
Je suis incapable d'expliquer ce que j'ai ressenti. De la peine, du soulagement? Non d'irréductibilité, je crois. Il m'a fallu longtemps pour me persuader de la réalité des faits. J'avais dix neuf ans, j'étais orpheline. Orpheline d'un criminel, d'un alpiniste, d'un nounours en peluche, d'une bonne fée, d'une sorcière, d'une artiste et d'une putain. Ça faisait beaucoup de monde dans un seul caveau.
Je dois avouer que, longtemps, j'ai espéré rencontrer mon père au hasard d'une rue. Je croyais au fond de moi qu'il n'était pas mort. J'ai même fini par me persuader qu'il me laissait des signes ; Un graffiti fait avec du sang sur la porte de ma « demeure ». L'impression que j'avais été visitée en mon absence, meuble déplacé. J'ai fini par réaliser que j'ignorais jusqu'à sa véritable identité. Il ne m'avait pas reconnue à ma naissance, je portais donc le nom de ma mère : Kousko. J'étais la fille de deux étrangers. Des égarés. Un fuyard perpétuel et une rêveuse impénitente.
Comme toutes les filles élevées par un homme, j'étais considérée comme un garçon manqué. En tant que chasseuse, je rencontrais souvent des gens. Mes condisciples me jugeaient peu féminine – non pas dans mon apparence, mais dans mes gestes - . Elles me reprochaient de ne pas exceller dans ce qu'elles considéraient comme des activités essentielles. Les garçons, eux, appréciaient ma façon d'aller droit au but et mon incapacité à sangloter. Plus tard, ces mêmes caractéristiques me furent reprochées par les hommes que je fréquentais avec autant de force qu'elles avaient été louées dans le passé. Allez donc y comprendre quelque chose.
Ma maison passée au feu pour je ne sais trop quelle raison. J'ai travaillé quelque temps dans un village non loin histoire d'avoir une place où dormir. Plus tard, j'ai décidé de partir de la tour. Je suis partie avec l'arrière-pensée de retrouver les traces de mon père. Je voulais savoir qui il avait été, ce qu'il avait fait... Quelles motivations l'avaient amené à devenir un criminel. J'étais parvenue à avoir quelque renseignement par les passents aux alentours, mais c'est là que les ennuis ont commencé De gros ennuis.
Dernière édition par Marilyn Kousko le Dim 8 Aoû - 15:16, édité 1 fois | |
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